Aurélia Ferrand
"Rester, c'est exister, Voyager c'est vivre" Gustave Nadaud,
Pourquoi a-t-elle rejoint le réseau myyeti ?
Dès que j'ai été indépendante financièrement, j'ai commencé à voyager. J'ai très vite été mordue et cela ne m'a jamais quitté ! A 42 ans, et après 19 ans dans le secteur de la communication, j'ai décidé d'opérer un vrai virage dans ma vie professionnelle et de vivre de ma passion du voyage. Au-delà de mon goût pour l'aventure, cette décision a été motivée aussi par le constat que peu de gens dans mon entourage prenait plaisir à préparer leur voyage. Pour la plupart, cela les ennuie, voire les stresse profondément, parfois au point de faire le choix de ne pas partir... La découverte d'autres pays et cultures étant à mon sens quelque chose de primordiale dans une vie, j'ai donc décidé de mettre à profit ma passion
Ses destinations coup de coeur
Celles qu'elle connait sur le bout des doigts : l’Asie et l’Europe. Pour les autres pays, je m’appuie sur mon 6ème sens, ma quête permanente pour dénicher les pépites cachées dans chaque pays, et surtout les retours précieux que me font mes clients sur les voyages que je leur organise, afin de toujours optimiser mes recommandations. Les destinations qui l'inspirent : la Birmanie, le Brésil, la Slovénie
Elle a posé ses valises
Dans les Yvelines, au bord de la Seine
Elle parle
L'anglais et l'espagnol
Son plus beau voyage
L’Islande : une vraie claque ! Un pays où tout est splendide (en dehors des villes) et où la nature à l’état brut nous surprend à chaque instant.
Sa bucket list voyage
La Namibie , la Tanzanie, l'Égypte, le Japon
50
C’est le nombre de pays que j’ai déjà visité, et pourtant la liste de ceux que je rêve de découvrir est encore tellement longue.
Sa définition du voyage
Écouter son cœur et ses envies, laisser de côté les craintes et les contraintes, et se forcer à sortir (au moins un peu) de sa zone de confort, car c’est en lâchant prise qu’on fait les plus beaux voyages.
Son petit plus
Depuis toujours sensible à l’environnement et à la préservation de la beauté de notre monde, la pandémie que nous avons vécu a décuplé cette sensibilité et j’ai profité de cette période plus calme pour suivre une formation passionnante sur le tourisme durable, qui m’a permis de lutter contre les apriori et clarifier mes idées sur le sujet.
mes + beaux clichés de voyage
interview
Quelle est ma vision du voyage de demain, post covid ?
Je crois qu’on a tous appris pendant cette crise qu’on ne pouvait plus prévoir ni imaginer grand chose… Mais j’aime à croire que cette période très douloureuse aura une issue positive et nous conduira à être des voyageurs plus responsables. Je n’adhère en aucun cas à la culpabilisation du voyageur car l’avion reste parfois la seule solution pour se rendre dans une destination. Mais se poser les bonnes questions quant à la durée de son voyage, à la possibilité ou non d’y aller en train, au fait de ne pas chercher à cocher toutes les cases, au respect de la nature et de la population du pays qui vous accueille, c’est ce à quoi j’aspire pour moi et pour les voyageurs qui me feront confiance.
Le voyage le plus “challenging” que j’ai eu à organiser ?
Incontestablement un voyage pour une famille de 6 personnes (avec des grands enfants) à travers plusieurs pays d’Asie, avec des départs et des retours de lieux différents et à des dates différentes liées aux contraintes de chacun. La famille état adorable et tout s’est super bien passé mais j’y ai passé un nombre d’heures incalculable…